1. |
Honky Tonk Train
03:57
|
|||
Honky Tonk Train
(Jean-Luc Brosse / F. Garric)
Les miles défilent et le ciel est lourd
Je joue aux cartes avec un soldat sourd
Dans le wagon quelques voyageurs
Assoupis sur leurs peines de cœur
Des insoumis, des joueurs
Cherchent le nom de la prochaine station
Ravitaillement dans quelques heures
C'est le rythme du Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Je donnerais tout pour retrouver
Le rythme magique du Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Berce mon cœur de gare en gare
Honky Tonk Train
La nuit est tombée, tout est noir dehors
Les lampes à pétrole jettent de ombres qui tremblent
Un jeune garçon noir en salopette
Rêve en dormant
Il se voit jouant avec une roue en bois
Près de la maison que bâtiront ses parents
J'ai dans la tête un air d'autrefois
Au rythme du Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Je donnerais tout pour retrouver
Le rythme magique du Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Berce mon cœur de gare en gare
Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Je donnerais tout pour retrouver
Le rythme magique du Honky Tonk Train
Honky Tonk Train, Honky Tonk Train,
Perce mon cœur de part en part
Honky Tonk Train
|
||||
2. |
Petite Fenêtre
03:11
|
|||
Petite fenêtre (Félicie Garric - Jean-Luc Brosse)
On peut la voir de loin, la nuit
On peut même l'imaginer
Là-bas tout au bout de la route
Petite fenêtre éclairée
Quand je suis venue vivre ici
Que tous les soirs je rentrais tard
Je l'ai repérée comme un phare
Comme une lampe pour me guider
Les soirs où je reviens de loin,
Après un long voyage
J'attends toujours et je l'espère
Mon petit carré de lumière
Je me prends à rêver d'une vie
Dans cette chambre à l'étage
Mes pensées traversent la vitre
Mon encre traverse la page
C'est devenu une habitude
C'est la veilleuse de mes nuits
Je suis fourbue, elle me réchauffe
Et en passant je lui sourie
L'autre soir mon cœur s'est serré
Aucune lumière ne m'attendait
Au bout de ma route il fait froid
L'ombre s'est emparée de moi
j'ai attendu, je l'ai rêvée
Ma lucarne, sa lampe posée
Mais rien ne venait éclairer
Ma route jusqu'à ce soir d'été
Ce soir, où je n'attendais rien
Elle était là sur mon chemin
Elle brille, petit carré doré
Tous les soirs réchauffe mon cœur
On peut la voir de loin, la nuit
On peut même l'imaginer
Là-bas tout au bout de la route
Petite fenêtre éclairée
Quand je suis venue vivre ici
Que tous les soirs je rentrais tard
Je l'ai repérée comme un phare
Comme une lampe pour me guider
|
||||
3. |
Une lettre
03:42
|
|||
Une lettre (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
Demain je resterai au lit toute la journée
A rêvasser
Ma chambre d'hôtel donne sur une rue fréquentée,
Ensoleillée
Les voitures se garent et les passants sont pressés,
Quelqu'un frappe à ma porte
Le garçon d'étage m'apporte le courrier du jour
Pas de lettre de toi
Vapeurs de thé vert et odeur de pain grillé
Nouvelle journée
Le parquet qui craque et les pas dans l'escalier
Bruits familiers
Entre les persiennes le soleil noie son ennui
Au fond de mon lit
Cette nuit j'ai rêvé que sous la porte je trouvais
Une lettre de toi
La vie va et vient, une semaine s'est écoulée
Rien n'a changé
Sur la table un porte-plume, une feuille de papier,
Un encrier
Dans le fauteuil en bois blond, les yeux fermés
J'écoute les voix
Demain on t'apportera le courrier du jour,
Une lettre de moi
|
||||
4. |
Comme qui dirait
03:26
|
|||
Comme qui dirait (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
Mary-Lou / Album «Courrier Transatlantique» (2009) / Réf. ML10
et Compilation France Bluegrass Volume 2 (2009) / Réf. FB02
D D
Je l'ai vue en m'baladant dans la rue j'traînais ma carcasse
D D
Elle écrivait une lettre assise sur la terrasse,
G G
L'air était si pesant, on suffoquait de chaleur
D D
Pas un souffle de vent, il était presque 4 heures
A D A E
Une voiture est passée, s'est arrêtée un peu plus loin
Il m'a dit bonjour de loin, j'lui ai fait un signe de la main
Elle avait l'air de s'ennuyer et moi j'étais pas pressé
Je l'ai vu s'approcher, il avait l'air d'un voyageur
J'ai secoué ma casquette pour faire tomber la poussière
Je sentais les ennuis venir, elle était belle comme un sou neuf
Je lui ai demandé mon chemin, je repartais vers Dallas
Il m'a fait du baratin, il avait l'accent du Texas
Et comme je m'étonnais qu'elle soit là comme ça toute seule
Je lui ai offert un verre juste comme ça par politesse
On est restés un bon moment à causer dans les rocking chairs
On n'a pas vu le temps passer, je me s'rais bien fait inviter
Je voyais l'heure tourner, j'pouvais plus m'en débarrasser
Mais j'voulais pas être incorrect, être impoli comme qui dirait
Il a ramassé son sac, remis sa casquette sur sa tête
C'était le moment d'se dire adieu, j'me sentais bête comme qui dirait
Au fond de l'Oklahoma, entre Okemah et Tulsa
Sur la route qui mène de Dallas à Detroit
Deux oiseaux de passage, qui suivent leur chemin
J'aimerais bien qu'elle m'accompagne au moins jusqu'à demain
C'était une belle journée, pleine de surprises comme qui dirait
|
||||
5. |
Zaricho est triste
04:44
|
|||
Zaricho est triste (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
Zaricho est triste, Zaricho s'ennuie
Sa chérie, sa doudou l'a quitté
Et Zaricho pleure le soir dans son lit
Il pleure car son rêve s'est brisé
Depuis ce matin, où devant un café
Dans un motel de Bâton Rouge
Elle lui a annoncé qu'elle le quittait
Zaricho a perdu la boule
Ne détruis jamais, n'abîme jamais,
Ne salis jamais mon rêve
C'est tout ce que j'ai, tout ce que la vie m'a donné
Ne touche jamais à mon rêve
Des idées étranges lui passent par la tête
Des images qui lui font peur
Il lui vient des phrases qu'il n'avait jamais dites
Avant que ne saigne son cœur
Ne détruis jamais, n'abîme jamais,
Ne salis jamais mon rêve
C'est tout ce que j'ai, tout ce que la vie m'a donné
Ne touche jamais à mon rêve
En fermant les yeux, juste avant de dormir
Il rêve qu'elle va revenir
Elle a le regard triste, il ne veut rien lui dire
Rien qui pourrait casser l'avenir
Ne détruis jamais, n'abîme jamais,
Ne salis jamais mon rêve
C'est tout ce que j'ai, tout ce que la vie m'a donné
Ne touche jamais à mon rêve
C'est tout ce que j'ai, tout ce que la vie m'a donné
Ne touche jamais à mon rêve
|
||||
6. |
Way down home
04:50
|
|||
Way down home (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
Sur le quai de Jackson,
Je regarde l'eau couler
Le grand fleuve m'a confié
Tant de secrets oubliés
Un bateau passe au loin
Des enfants jouent sur la berge
J'entends une sirène de police
Mes souvenirs rejaillissent
Way down Mississippi,
Way down South
There's a place that I will never forget
Way down home
Bientôt il me faudra
Reprendre la route
Six heures à l'horloge de la gare
A l'Ouest le soleil rougit
Combien de jours, de semaines,
Avant de te retrouver
Combien de mois, combien d'années,
Seras-tu à mes côtés
Way down Mississippi,
Way down love
You're the one waiting for me
Way down home
|
||||
7. |
Rosalina
04:56
|
|||
Rosalina (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
Dans un bar de Santa Fe, sur une terrasse ensoleillée
Je cherche les mots pour écrire une lettre à Rosalina
Et entre mille souvenirs, et une photo qu'elle m'a laissée
Je ne sais pas quoi lui dire, pourra-t-elle me pardonner ?
Oh, Rosalina, ne me repousse pas
Oh Rosalina, l'amour n'attend pas
Je t'en prie Rosalina, je meurs d'amour pour toi
Ma chère Rosalina, viens-t'en près de moi,
L'amour n'attend pas
Le soleil descend au loin, je n'ai pas écrit une ligne
La bière et la tequila me brouillent les idées
Mais demain je l'appellerai pour lui dire que je l'aime
Lui dire de me pardonner, et de tout recommencer.
Oh, Rosalina, ne me repousse pas
Oh Rosalina, l'amour n'attend pas
Je t'en prie Rosalina, je meurs d'amour pour toi
Ma chère Rosalina, viens-t'en près de moi,
L'amour n'attend pas
Sentada en la hacienda, miro el atardecer
Todo esta confuso, los recuerdos se alejan
Alguien toca el acordeon
En un coche antiguo ondea
un trozito de velo, de la ultima boda
Oh Rosalina, por favor no me rehuyas
Oh Rosalina, el amor no espera
Por favor Rosalina, me muero, muero por ti
Querida Rosalina, ven a mi lado
El amor no espera
|
||||
8. |
Quand vient l'hiver
04:39
|
|||
Quand vient l'hiver (Félicie Garric – Jean-Luc Brosse)
Quand vient l'hiver
Assise au coin du feu
Je rêve d'un Noël merveilleux
Je pense à autrefois
A la douceur de ces nuits
Ou nous étions tous réunis
La neige sur les toits
Et les marrons glacés,
Les bougies et les chocolats
Dans ma chambre d'enfant
La maison endormie
Je sombrais lentement
Dans un sommeil léger
Mes rêves étaient peuplés
Des poupées que j'aimais
Je m'envolais vers l'étoile du berger
Au petit matin
J'étais réveillée
Par les cris de mes frères et sœurs
Le cœur battant,
Nous découvrions
Tous les cadeaux sous le sapin
Les étoiles de l'hiver,
Et les yeux des enfants
A Noël, brillent comme avant
Décembre apporte-moi,
Toujours comme autrefois
Des Noëls avec ceux que j'aime
Jour après jour, Comme une chanson sans retour
Le temps emporte mon enfance
|
||||
9. |
||||
Take me back to cotton felds (Jean-Luc Brosse - Félicie Garric)
I remember the words of a very old song
I used to sing along when I was a kid
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
There's a place called Texarcana
Deep down in Louisiana, but it's allright
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
When you go down the Mississippi
Leadbelly is sleeping in the dust
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
In my soul I can hear a voice
Saying you're bound to go back to the same old place
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
And when cotton balls get rotten
You can't pick very much cotton everybody knows
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
When I was back in Arkansas
Nobody asked me what I was coming for
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
I swear that one day soon
I'm gonna hop on a train and roll along
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
You know folks didn't get very much money
But times have changed and it's still the same
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
I dreamed I was sleeping in the shade
Of a willow tree, but that sun's gonna kill me
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
I remember the words of a very old song
I used to sing along when I was a kid
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
In them old cotton fields back home, in them old cotton fields back home
|
Mary-Lou Quimper, France
Le groupe Mary-Lou, avec une synthèse unique entre chanson française et influences musicales telles que folk, rock, blues, country, bluegrass, cajuns'est imposé comme l'un des principaux représentants du courant chanson folk rock francophone.
Streaming and Download help
If you like Mary-Lou, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp